Oh la, la! La petite Gigi est a-do-ra-ble. Emmitouflée dans un doux duvet blanc, la petite Gisèle Laflèche est beaucoup trop cute alors qu’elle semble dormir, sourire aux lèvres, sa petite bouche ouverte! On craaaaaque.
Le 8 mars dernier, Marie-Mai profitait de la Journée internationale des droits des femmes pour aider à faire tomber les tabous au sujet de l’allaitement en public en partageant la première photo de la nouvelle femme de sa vie, la petite Gigi. Aujourd’hui, l’auteure-compositrice-interprète nous dévoile le joli minois de son petit ange (et c’est le cas de le dire, avec cette photo!), né le 15 février dernier, en publiant un cliché des plus mignons sur ses réseaux sociaux: «Salut! C’est moi ?Gigi?», y révèle Marie-Mai.
La petite Gigi va briser des coeurs plus tard!
Avec sa complice Marie-Christine Proulx, le sympathique animateur de Salut, bonjour!, Gino Chouinard, s’est amusé à reproduire l’adorable cliché de la petite Gigi! Le résultat a plutôt fait rire Marie-Mai sur Twitter, qui lui a répondu: «Ahah! Meilleur réveil EVER!?», tout en partageant elle aussi une photo semblable à sa petite fille… Telle mère, telle fille! Mitsou s’est ensuite jointe à la conversation en demandant à Gino et Marie-Mai s’ils s’étaient inspiré de son fameux album de Noël de 1996. Démasqués!
Marie-Mai se confie sur son accouchement difficile
Lundi soir, Marie-Mai donnait sa première entrevue télévisée depuis son accouchement, en plus d’être la toute première invitée de la deuxième saison de Les échangistes, à Radio-Canada. Sur le plateau, Marie-Mai a d’ailleurs parlé de son accouchement et de son nouveau rôle de maman.
Marie-Mai avait choisi d’accoucher dans l’eau, dans une maison de naissance, afin de vivre l’expérience de l’accouchement le plus naturellement possible. Malheureusement, la réalité a été toute autre et l’accouchement fut difficile:
Je m’étais préparée à accoucher dans une maison de naissance, dans un bain. C’était parti comme ça, mais ça ne s’est pas fini de même! J’avais vraiment cette idée zen d’accoucher dans un milieu serein. Finalement, ça n’a pas fonctionné comme ça. Il y a eu des petites complications.
Sans dire que c’était un accouchement horrible et difficile, parce que je pense que tous les accouchements sont en quelque sorte difficiles, ce n’était juste pas l’accouchement que je m’étais fait en tête. Je pense que je me suis rendu compte d’abord et avant tout que ce n’était pas mon accouchement, c’était son accouchement à elle. Même si mes plans n’ont pas été respectés, si on veut, elle a eu la naissance qu’elle devait avoir. Ç’a été une césarienne, ç’a été à l’hôpital, y’a rien de fancy là-dedans!
Juste avant que les médecins l’endorment, Marie-Mai a pu voir sa fille:
Ils sont venus la porter à côté de moi. C’était le coup de foudre à la première seconde. Une chose qui m’a fait de la peine, par contre, c’est que je m’étais vraiment préparée à faire le peau à peau. Quand on accouche, on recommande beaucoup ça chez les nouvelles mamans, de prendre le bébé sur soi; c’est bon pour lui… j’ai lu des livres et c’est ça que je voulais faire. Alors, quand j’ai appris que j’allais avoir une césarienne, ça m’a un peu brisé le coeur. C’est mon chum qui a fait le peau à peau à la place, et ensuite, on m’a endormie. Quand je me suis réveillée après l’opération, je ne savais pas trop ce qui se passait, si c’était grave ou non, et je demandais à voir ma fille. Je me rappelle que pendant 15 minutes, j’ai demandé ce qui s’était passé au docteur, encore et encore. Mais une fois que j’ai vu qu’elle était en santé, j’étais aux anges.
Marie-Mai a passé la dernière année loin des projecteurs, en hibernation, comme elle aime bien dire, afin de prendre du temps pour elle et se retrouver. Même si elle s’est retirée quelque temps des réseaux sociaux, la chanteuse s’ennuyait tout de même de ses fans et avait hâte de retrouver le public et de recommencer à travailler.
Ça change beaucoup nos priorités, ça change la perception qu’on a de notre vie. Moi, ç’a changé la perception que j’avais de mon métier aussi. On se rend compte à quel point des fois on accroche sur des détails et on fait des montagnes avec pas grand-chose. Là, je regarde ma fille et je me dis: plus jamais je vais m’en faire pour ce que les gens pensent de moi, pour un message sur Twitter ou des commentaires ridicules. Moi, ma priorité, c’est elle, et je vais tout faire pour qu’elle soit heureuse. Si elle est heureuse, ben moi, je le suis aussi.
Ça se passe super bien. J’ai l’impression que ça fait six mois qu’elle est avec nous. C’est naturel et on a une fille qui est extraordinaire et ça facilite beaucoup les choses. Elle dort super bien, elle a un bon tempérament, c’est une fille qui est super enjouée, qui sourit tout le temps. On est super chanceux.
Samedi dernier, Marie-Mai faisait sa toute première sortie médiatique pour la première de Les Schtroumpfs: Le village perdu, alors qu’elle doublait pour la troisième fois la voix de la Schtroumpfette. Inévitablement, la nouvelle maman m’a parlé de sa petite Gigi:
«Je suis complètement gaga! Je ne pensais pas être comme ça, mais je ne peux passer une seconde sans lui faire des «gaga-gougou»; je ne la lâche pas (rires). Comme n’importe quelle nouvelle maman, je ne pourrais que la regarder toute la journée et ne faire que ÇA! Je suis fascinée par son visage, ses yeux, sa bouche, sa personnalité… J’aime ça. Vraiment! Je savais que j’allais aimer être une maman, mais c’est encore plus fou que je le pensais. C’est le plus beau rôle de ma vie et j’essaie de m’accrocher à chaque moment, car ça passe tellement vite! Elle est tellement plus grande qu’elle était à sa naissance et chaque fois que je la tiens dans mes bras, je me dis: «OMG, elle ne sera plus jamais aussi petite que maintenant! Elle est déjà plus grande qu’hier, qu’avant-hier… elle change tous les jours»! Je m’accroche à chaque instant passé avec elle!», me dévoilait Marie-Mai alors que je lui demandais de se décrire comme nouvelle maman.